BiphobieBiphobie, binégativité. Ce sont des attitudes de malaise, de crainte ou d'hostilité face aux personnes attirées par plus d'un sexe ou genre. Elles sont alimentées par des structures de pouvoir dans la société qu'on appelle le monosexisme. On critique le mot biphobie parce qu'il donne l'impression que c'est un problème avec la personne biphobe, plutôt que le résultat de ces structures sociales; plusieurs personnes préfèrent le terme binégativité pour cette raison. Quand une personne bi+ croit en certaines de ces attitudes par rapport à elle-même ou aux autres personnes bi+, c'est de la binégativité (biphobie) intériorisée. More, binégativité. Ce sont des attitudes de malaise, de crainte ou d’hostilité face aux personnes attirées par plus d’un sexe ou genre. Elles sont alimentées par des structures de pouvoirStructures de pouvoir. Elles forment un système qui exerce du pouvoir sur les membres de certains groupes dans une société. Dans la société, il y a des gens, des groupes, des organisations et des institutions qui ont du pouvoir sur les personnes et les groupes qui en ont moins. Il y a toutes sortes de façons d'exercer ce pouvoir, certaines subtiles (les attitudes des gens), d'autres évidentes (les lois criminelles et la police). Quand ce pouvoir tourne autour de quelque chose comme la race, le sexe et le genre, la sexualité, la religion, la richesse et la pauvreté, etc., les manières d'exercer ce pouvoir deviennent un système. Ce qui fait fonctionner ce système, on appelle ça les structures de pouvoir. More dans la société qu’on appelle le monosexismeMonosexisme. C'est le résultat des structures de pouvoir dans la société qui donnent plus de validité au fait de n'être attiré que par un seul sexe ou genre. Ces structures découragent ou même punissent tout ce qui ne se conforme pas à cette norme: en général, ce sont les personnes bi+ qui écopent. Les gens peuvent contribuer au monosexisme quand leurs attitudes soutiennent cette norme, même subtilement. Les institutions de la société peuvent y contribuer et les messages que la société donne en font partie aussi. Par exemple, ceux-ci peuvent laisser croire que c'est impossible d'être attiré par plus d'un sexe ou genre toute sa vie, ou bien ils peuvent transmettre des préjugés contre les personnes bi+. More. On critique le mot biphobieBiphobie, binégativité. Ce sont des attitudes de malaise, de crainte ou d'hostilité face aux personnes attirées par plus d'un sexe ou genre. Elles sont alimentées par des structures de pouvoir dans la société qu'on appelle le monosexisme. On critique le mot biphobie parce qu'il donne l'impression que c'est un problème avec la personne biphobe, plutôt que le résultat de ces structures sociales; plusieurs personnes préfèrent le terme binégativité pour cette raison. Quand une personne bi+ croit en certaines de ces attitudes par rapport à elle-même ou aux autres personnes bi+, c'est de la binégativité (biphobie) intériorisée. More parce qu’il donne l’impression que c’est un problème avec la personne biphobeBiphobie, binégativité. Ce sont des attitudes de malaise, de crainte ou d'hostilité face aux personnes attirées par plus d'un sexe ou genre. Elles sont alimentées par des structures de pouvoir dans la société qu'on appelle le monosexisme. On critique le mot biphobie parce qu'il donne l'impression que c'est un problème avec la personne biphobe, plutôt que le résultat de ces structures sociales; plusieurs personnes préfèrent le terme binégativité pour cette raison. Quand une personne bi+ croit en certaines de ces attitudes par rapport à elle-même ou aux autres personnes bi+, c'est de la binégativité (biphobie) intériorisée. More, plutôt que le résultat de ces structures sociales; plusieurs personnes préfèrent le terme binégativité pour cette raison. Quand une personne bi+Bi+. Terme-éventail qui regroupe toutes les personnes dont les désirs ou les expériences sont avec des personnes de plus d'un sexe ou genre, que ces désirs et expériences soient sexuel-les ou amoureuses, même si leur force ou leur fréquence sont différentes. Ça peut être des personnes qui s'identifient comme bisexuelles, pansexuelles, polysexuelles ou omnisexuelles. Cependant, ça peut être aussi des personnes qui s'identifient comme lesbiennes, gaies ou hétéro, mais qui ont ces désirs ou ces expériences. More croit en certaines de ces attitudes par rapport à elle-même ou aux autres personnes bi+Bi+. Terme-éventail qui regroupe toutes les personnes dont les désirs ou les expériences sont avec des personnes de plus d'un sexe ou genre, que ces désirs et expériences soient sexuel-les ou amoureuses, même si leur force ou leur fréquence sont différentes. Ça peut être des personnes qui s'identifient comme bisexuelles, pansexuelles, polysexuelles ou omnisexuelles. Cependant, ça peut être aussi des personnes qui s'identifient comme lesbiennes, gaies ou hétéro, mais qui ont ces désirs ou ces expériences. More, c’est de la binégativité (biphobieBiphobie, binégativité. Ce sont des attitudes de malaise, de crainte ou d'hostilité face aux personnes attirées par plus d'un sexe ou genre. Elles sont alimentées par des structures de pouvoir dans la société qu'on appelle le monosexisme. On critique le mot biphobie parce qu'il donne l'impression que c'est un problème avec la personne biphobe, plutôt que le résultat de ces structures sociales; plusieurs personnes préfèrent le terme binégativité pour cette raison. Quand une personne bi+ croit en certaines de ces attitudes par rapport à elle-même ou aux autres personnes bi+, c'est de la binégativité (biphobie) intériorisée. More) intériorisée.
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Plusieurs personnes ont des relations amoureuses ou sexuelles qui dévient du script de « couche avec juste une personne, sois en amour avec juste une personne », ce qu’on appelle la monogamie. Bien que la majorité des personnes bisexuelles, polysexuelles ou pansexuelles (les personnes « bi+ », pour faire plus court) souhaitent des relations monogames, nous bâtissons plus souvent que les monosexuels (le monde qui n’est attiré que par un seul sexe ou genre) des relations qui sortent de ce moule. Parlons donc de non-monogamie consentante (aussi appelée non-monogamie éthique).
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